Réforme des retraites : « Nous ne céderons rien à la violence », martèle Macron

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Alors qu’il participe au Conseil européen, le président a condamné « avec la plus grande fermeté » les violences qui ont émaillé les manifestations jeudi.






Nathan Joubioux pour Le Point


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© LUDOVIC MARIN / AFP

Temps de lecture : 1 min

À l’occasion du sommet européen, à Bruxelles, Emmanuel Macron est revenu, lors de son allocution, sur la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Il a condamné les violences « avec la plus grande fermeté », rappelant qu’en « démocratie, nous n’avons pas le droit à la violence » et a affirmé son intention de continuer « d’avancer », refusant l’idée que la rue dicte l’agenda politique.

Interrogé sur le climat social qui règne en France, le président de la République a rappelé que « le pays ne peut pas être à l’arrêt », avant de se dire à la disposition de l’intersyndicale pour avancer sur des sujets tels que « l’usure professionnelle, les fins de carrière, les reconversions, l’évolution des carrières, les conditions de travail, les rémunérations dans certaines branches », a poursuivi le chef de l’État. « Pour le reste et la réforme des retraites, elle est devant le Conseil constitutionnel et il est évident que nous attendrons la décision du Conseil constitutionnel », a-t-il conclu.

Concernant la visite du roi Charles III en France, prévue dimanche, Emmanuel Macron a mis en avant le « bon sens et l’amitié » ayant conduit « à proposer un report ». « Nous ne serions pas sérieux et nous manquerions d’un certain bon sens » à « proposer une visite au milieu des manifestations », avant de préciser qu’une nouvelle date pourrait « être calée » au début de l’été.

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Source: lepoint.fr