Notre classement des 30 meilleurs eating places de l’année 2024 en France | EUROtoday
Qui dit fin d’année dit, évidemment, catalogue de délices chocolatés et autres recettes de fêtes, comme celles que nous a confiées le chef Jean-François Piège. La saison est aussi celle des bilans : la sélection des meilleurs livres de 2024 par la rédaction, le palmarès des enchères les plus folles…
Et en matière de goût ? Nous avons publié récemment le prime 100 des meilleurs cavistes de France, rigoureusement sélectionnés par nos specialists en vin, Jacques Dupont et Olivier Bompas. Avant de tourner la web page de 2024, voici un autre classement, celui de nos 30 nouveaux eating places préférés. À Paris, Saint-Jean-de-Luz ou Nantes, ils ont tous ouvert durant l’année qui vient de s’écouler – pour certains toute fin 2023 – ou vu débarquer un nouveau chef aux commandes.
La sélection de nos 30 eating places préférés ouverts en 2024
30 – Le Café de l’usine
Après une résidence au Perchoir Ménilmontant et un passage au Mermoz, Alice Arnoux a ouvert cette adresse planquée dans un cour très parisienne. Elle y sert une delicacies lovely, responsable et au rapport qualité-prix imbattable, surtout au déjeuner. Bon level : le menu, ultra-saisonnier, change toutes les semaines.
5, passage Piver, 75011 Paris. Menus : 25 (déj.) et 45 €.
29 – Maison Brut
Sa déclinaison de carotte, en différentes textures, dressée lamelle par lamelle, et assaisonnée de morilles fermentées et d’un jus au vin jaune était l’un des plats les plus délicats de la fin d’année. Bastien Djait a du expertise et il faut aller lui rendre visite dans son restaurant gastronomique où le menu déjeuner est aussi bien articulé.
18, rue d’Abbeville, 75009 Paris. Menus : 29 (déj.), 38 (déj.), 75 et 105 €.
28 – Le Tire-Bouchon Rodier
L’adresse canaille de 2024 est signée Marc Favier (ex-étoilé chez Marcore). À l’ardoise : terrine de foie de volaille, œufs mimosa à l’estragon, fricassée de girolles au vin jaune, noix de Saint-Jacques au beurre maître d’hôtel, beignets de pomme de terre et carottes, tartare de thon rouge, gingembre et citronnelle… Et notre plat chouchou : les ribs de bœuf, sauce barbecue maison.
47, rue Rodier, 75009 Paris. Carte : 30-50 €.
27 – Freia
Dans une ancienne serre, posée sur le toit d’un immeuble du quartier de la gare de Nantes, Sarah Mainguy a inauguré son premier restaurant gastronomique en mars. L’ex-candidate de Top Chef, saison 12, y joue une petite musique naturaliste et saisonnière bien réglée. Souvenir ému d’un subtil feuille à feuille de chou et ail des ours, caressé par une sauce beurre blanc-réduction de vin orange.
22, boulevard de Berlin, 44000 Nantes. Menu : 50 et 70 € (déj.) 80 et 120 €.
26 – La Palme d’or
En mai, juste avant le Festival de Cannes, Jean Imbert, qui prend ici la suite de Christian Sinicropi, a dévoilé sa proposition culinaire pour la desk gastronomique de l’hôtel Martinez. La mer s’y invite sous de jolis auspices – pistes en persillade, daurade en écailles d’agrumes, chapon rôti au 4 – dans un décor de cinéma imaginé par le chef.
Hôtel Martinez, 73, boulevard de la Croisette, 06400 Cannes. Menus : 130 (déj.) 220 €. Carte : 150-250 €.
25 – La Table des amis
Alexandre Baumard, ancien chef de L’Observatoire du Gabriel (voir ci-dessous), a offert deux adresses à Bordeaux cette année, situées dans le même bâtiment, proche de la place des Grands-Hommes. À l’étage, Amicis, une proposition gastronomique, non testée mais qui s’annonce prometteuse. Au rez-de-chaussée, la Table des amis, un bistrot animé qui fait le plein. Succès amplement mérité : les goûts sont là (tourte feuilletée confortable ; tonique carpaccio de daurade aux agrumes ; aimable vacherin mandarine-marron) et le rapport qualité-prix très juste au déjeuner.
19, rue Mably, 33000 Bordeaux. Menu : 32 € (déj.). Carte : env. 80 €.
24 – L’Altro Frenchie
En lieu et place de son Frenchie To Go alias FTG, comptoir road meals toqué du sizzling canine et du sandwich au pastrami, Grégory Marchand a dévoilé cette néo-trattoria italienne au décor glamour. On y croque dans le meilleur de la Botte avec un twist contemporain : gros artichaut frit « alla giudia » à tremper dans une crème aérienne au parmesan ; vitello tonnato revisité à la porchetta de cochon ; linguine à la chair de tourteau et bisque d’étrille, rafraîchies de pousses de fenouil…
9, rue du Nil, 75002 Paris. Menus : 29 et 34 € (déj.) Carte : 40-80 €.
23 – Brion
Dans le cadre serein d’un bistrot de quartier au look contemporain, Geoffrey Lengagne réalise une delicacies d’auteur sincère et cohérente. Topinambours rôtis, sabayon menthe ; lieu jaune et courges au tandoori ; selle d’agneau fondante condimentée de harissa… Voici quelques-unes de ses très jolies inspirations.
17, rue Lamartine, 75009 Paris. Menus : 32, 39, 50 (déj.), 68 et 90 €. Carte : 50-60 €.
22 – Mojju
Voyage en Corée orchestré par Thibault Sombardier, finaliste de Top Chef en 2014. Dans un bistrot aux allures de maison traditionnelle, l’esprit est au partage entre tapas pimpants (pancake de tofu, crevettes et champignons ; tartare de bœuf assaisonné d’un mélange ail-piment-sésame et rafraîchi par des lamelles de poire crue) et pièces grillées en tous genres, à rouler dans des feuilles de salade et tremper dans une déclinaison de sauces travaillées. Menu dégustation recommandé.
4, rue de l’exposition, 75007 Paris. Menu : 65 €. Carte : env. 60 €.
21 – Marc Veyrat Cuisine haute définition
Le célèbre chef au chapeau a relancé la machine, l’été dernier, du côté de Megève, là où il avait triomphé avec la Ferme de mon père avant d’ouvrir La Maison des bois, à Manigod. Ici, le modèle est plus raisonné, mais Veyrat s’y livre totalement et suggest une expérience incarnée, toujours portée par sa science aromatique et pastorale.
539, chemin des Ânes, 74120 Megève. Menu distinctive : 450 €.
20 – Dandelion
L’une des belles surprises bistronomiques de l’année : l’ouverture de ce troquet délicat et tremendous gueule par Antoine Villard, ex-second de Bertrand Grébaut chez l’étoilé Septime (11e), et Morgane Souris, ancienne de chez Parcelles (4e). Assiettes limpides et pleines d’esprit : méli-mélo d’asperges blanches grillées et langoustines crues ; ris de veau caramélisé à la braise et chou pointu ; Saint-Jacques à l’huile de verveine, crème de cresson et chou-rave.
46, rue des Vignoles 75020 Paris. Carte : 45-65 €.
19 – 19 Saint-Roch
Ex-chef d’orchestre de Vivant et Déviant, Pierre Touitou a fait son retour, chez lui, pour une nouvelle histoire. Celle de cette desk précieuse, contemporaine et pleine d’allant où les hors-d’œuvre défilent avec panache (salade de puntarelle à la poutargue ; dés de seiche au safran…) avant une ronde élégante aux accents végétaux ou sauciers.
19, rue Saint-Roch, Paris 1er. Carte : 50-90 €.
18 – Vous et Anata
Toute fin 2023, Julien Gatillon, l’ancien chef du domaine du Mont d’Arbois, a fait coup double dans le centre de Megève avec deux eating places à la même adresse. En bas, Vous, comptoir couture de quatorze locations où défilent des assiettes en talons hauts (langoustine, bouillon au safran, mille-feuille de pommes de terre ; duo de macaronis et tétragone à la truffe…). En haut, Anata, planque nipponne où déguster sashimis et nigiris de daurade, thon ou sériole découpés et façonnés minute.
36, rue Saint-François, 74120 Megève. Vous. Menus : 90 (dej.), 135 et 190 €. Anata. Carte : 50-100 € (déj.). Menus : 135 € et 190 €.
17 – Aldehyde
Ravioles de canard barbotant dans un bouillon bien corsé ; ganache chocolat et sorbet tagète… Voici deux des plats signatures de Youssef Marzouk, fraîchement installé en bordure de Seine, en face de l’île Saint-Louis (ça change d’Oberkampf !) où il convoque les souvenirs et parfums de ses voyages et de son enfance en Tunisie. Il faudra suivre de près cette adresse qui respire la sincérité.
5, rue du Pont-Louis-Philippe, 75004 Paris. Menus : 45 (déj.), 95 et 120 €.
16 – Chiberta
Fidèle lieutenant de Guy Savoy du côté de la rue Troyon, Clément Leroy a repris, cet été, le Chiberta de ce dernier. Il y a installé deux adresses en une. Au fond, Carné, steakhouse stylish et bien ficelé. Et devant, la desk gastronomique, où le chef déroule son savoir-faire et son amour des beaux produits, avec une touche moderne et un aptitude voyageur (foie gras cuit dans la cire d’abeille, servi d’avance dans un bouillon safrané ; duo de veau et seiche, sauce pil-pil ; rouget en écailles soufflées et déclinaison de chou-fleur…).
3, rue Arsène-Houssaye, 75008 Paris. Menus : 68 (déj.) 135 et 185 €. Carte : 120-170 €. Carné. Carte : env. 150 €
15 – Fana Bistro
Jorice Sardain et Gabriel Gras Fernandez, voici le duo à la tête de cet épatant bistrot au délicieux rapport qualité prix. Le premier signe une offre sucrée de haute volée, dont un Mont-Blanc glacé de toute beauté tandis que le second l’imite au salé. On grignote ici, notamment, l’un des meilleurs taramas de Paris.
14, rue Ferdinand-Flocon, 75018 Paris. Menus : 34 (déj.), 41 et 45 €.
14 – Clos d’Astorg
Se réjouir de la reprise récente de cette cantine, transformée en bistrot modèle par un jeune couple novice de bonne chère et sérieux flacons. Nappes blanches et verrerie tremendous sont de sortie pour honorer comme il se doit le terroir : carré d’agneau des Pyrénées ou côte de bœuf de Galice à partager, poêlée de cèpes en persillade au sautoir, mousse au chocolat à la fleur de sel et l’un des meilleurs choux farcis gloutonnés depuis longtemps.
22, rue d’Astorg, 75008 Paris. Carte : env. 50 €.
13 – Les Jardins de Kerstéphanie
Après avoir fait les beaux jours du restaurant étoilé Les Climats à Paris, Emmanuel Kouri a mis les voiles en Bretagne, du côté de la presqu’île de Rhuys. Depuis décembre 2023, il y fait honneur, avec beaucoup de justesse, aux produits locaux : raviole ouverte d’artichaut aux coquillages ; homard nacré au beurre, fenouil tendre ; filet mignon de cochon, blettes et bigorneaux… Excellent rapport qualité-prix.
Route du Roaliguen, 56370 Sarzeau. Menus : 49, 65 et 85 €.
12 – Vaisseau
Adrien Cachot, l’un des candidats les plus emblématiques de Top Chef, a enfin pu ouvrir son restaurant gastronomique en décembre 2023. En à peine un an, il a fait de Vaisseau un haut lieu du goût de l’époque, fidèle à sa philosophie d’une delicacies frontale, pleine d’aspérités. À tester absolument, sa trilogie d’abats de veau (cervelle, langue, fraise) a le mérite de bousculer sans tomber dans la provoc vaine.
35, rue Faidherbe, 75011 Paris. Menus : 60 (déj.) et 120 €.
11 – Monique
Retour aux sources pour Julien Caligo, ancien chef du Duende de Pierre Gagnaire à Nîmes, dans le centre du village de Calvisson, voisin de celui où il a grandi. Entre terre, mer et notes végétales, l’assiette est balayée par un souffle méditerranéen. Symbolisé, notamment, par un délicat triptyque dégusté en début d’année : sardines marinées à l’huile pimentée et nappées d’une escabèche veloutée, tartare de veau aux huîtres, et petit ache aux anchois, surmonté de lamelles d’asperges.
1 ter Impasse du Charron, 30420 Calvisson. Menus : 50 (déj.), 95 et 110 €.
10 – L’Observatoire du Gabriel
Bertrand Noeureuil, ancien chef de delicacies du Plénitude d’Arnaud Donckele au Cheval-Blanc Paris, après avoir été à ses côtés à La Vague d’or, à Saint-Tropez, se lance en solo. Il a été recruté par la famille de Boüard de Laforest (Angelus) pour impulser une nouvelle énergie à cette desk bourgeoise située près de la place de la Bourse. La filiation saute aux yeux par son ADN poétique et son élan saucier formidablement gourmand. Et le nouvel arrivant a eu le bon goût de puiser dans toute l’Aquitaine pour commencer à écrire son propre récit.
10, place de la Bourse, 33000 Bordeaux. Menus : 175 et 195 €
9 – Maison Avoise
Un autre ex-lieutenant de Guy Savoy, Alexis Voisenet, vient d’ouvrir cette adresse à double détente : cave à manger sur la droite et restaurant gastronomique sur la gauche. Le propos y est d’une lisibilité totale et la carte donne à déguster l’excellence. À l’picture d’un des plus beaux plats de l’année : l’entêtante terrine de la mer, pensée comme un fromage de tête aux coquillages, compression graphique et fort aromatique de moules de bouchot, vernis, couteaux et huîtres, arrosée d’un bouillon safrané.
58, promenade du Verger, 92130 Issy-les-Moulineaux. Menus : 45 (déj.), 64 et 89 €. Carte : env. 90 €.
8 – Bellefeuille
Julien Dumas parti, le magnifique hôtel Saint James Paris se devait de trouver un successeur de expertise pour sa desk gastronomique. Son nom ? Grégory Garimbay, qui n’a pas tardé à trouver le ton juste et la delicacies idoine. Ses créations naturalistes aux accents végétaux s’épanouissent dans le décor bucolique imaginé, il y a quelques saisons, par Laura Gonzalez. À l’picture d’un des plats phares, la langoustine royale, simplement pochée, qui s’épanouit dans un bouillon intense rafraîchi par une poignée de fleurs, d’herbes fraîches et les notes salines d’une cuillère de caviar.
Hôtel Saint James, 5 place du Chancelier-Adenauer, 75116 Paris. Menus : 160, 190 et 230 €.
7- La Chèvre d’or
Après le départ d’Arnaud Faye au Bristol (lire plus bas), remark allait se poursuivre l’histoire de cette emblématique desk méditerranéenne, logée dans le non moins emblématique hôtel du même nom ? De fort belle manière, grâce au casting plein de sens de Tom Meyer (ex-Granite) qui a vite trouvé ses marques. Duo de bœuf wagyu et charolais en opposition de textures ; sardine laquée de son propre garum, juste saisie au chalumeau ; pigeon en trois providers… Voici quelques-uns des plats « waouh » de sa première assortment.
Rue du Barri, 06360 Èze. Menus : 140 (déj.), 220 (déj.), 270 et 340 €.
6 – Amâlia
Rien que pour avoir osé la nappe blanche dans un quartier habitué aux tables débraillées, on applaudit. En moins d’un an, Cecilia Spurio et Eugenio Anfuso, trentenaires italiens lookés, passés par de belles maisons des deux côtés des Alpes, ont fait de l’ancien bistrot Robert une escale de premier ordre. L’excellent niveau des assiettes (mémorable pigeon rôti, servi en deux temps : la cuisse fondante, en sucette, la poitrine flanquée d’un jus à l’anguille, aux notes fumées de sauce barbecue) se double d’une décontraction bienvenue.
32, rue de la Fontaine-au-roi, 75011 Paris. Menus : 80 et 120 €. Carte : 65-90 €.
5 – Arbane
En plein centre de Reims, à trois kilomètres de son ancien terrain de jeu – le Domaine des Crayères, rien que ça –, l’expérimenté Philippe Mille a sauté le pas avec brio en ouvrant son restaurant à lui, Arbane. Une maison déjà incarnée qui clame sur tous les toits (décoration, carte des vins, assiette) son amour pour le terroir native. Champagne !
7, rue Noël, 51100 Reims. Menus : 80 (déj.), 130, 180, 230 et 290 €.
4 – Épicure
On ne voyait guère, en 2024, de tâche plus ardue que de succéder à Éric Frechon au Bristol après 25 ans d’une singulière histoire. Arnaud Faye, ex-toque doublement étoilée de la Chèvre d’or (lire plus haut) a relevé ce défi. Et commencé, avec succès, à rédiger les premières pages de ce nouveau chapitre. Sans renier l’histoire des lieux, le nouveau venu a apporté immédiatement sa touche personnelle. Son turbot, nacré à l’huile d’olive, baigné d’une sauce mêlant bouillon de poisson et jus de carotte, rafraîchie de verveine, en est l’une des plus belles expressions.
Hôtel Bristol, 112, rue du Faubourg-Saint-Honoré, Paris 8e. Menus : 280, 360 et 490 €. Carte : env. 300 €.
3 – Petit Grill basque
En mars, Inaki Aizpitarte, le boss du Chateaubriand et du Dauphin à Paris, a relancé cette vieille establishment de Saint-Jean-de-Luz, qu’il a rénovée sans en perdre le cachet. Dans un model frontal et gouailleur, il conjugue manières bistrotières et inspirations basques, espagnoles ou méditerranéennes. C’est délicieux de bout en bout entre thon blanc de ligne confit au gras de porc kintoa (atùn en manteca), ragoût de tripes de morue et haricots blancs, ou chipirons additional fondants au piment doux, servis à même la casserole.
4, rue Saint-Jacques, 64500 Saint-Jean-de-Luz. Carte : 40-60 €.
2 – Hakuba
Pour la sensation nipponne de l’année, course le Cheval Blanc Paris où Arnaud Donckele (voir plus haut) et Takuya Watanabe, fondateur du restaurant Jin, qui fut longtemps la référence parisienne en matière de sushis, ont ouvert ce lieu à nul autre pareil. Le menu omakase débute par une succession de petits plats comme autant de fulgurances, se poursuit par un service d’une dizaine de sushis laser et s’achève par les plus beaux des mochis. Frissons garantis.
8, quai du Louvre, 75001 Paris. Menus : 380 et 420 €.
1 – La Ferme du pré
À Découvrir
Le Kangourou du jour
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Meilleur exemple du panache stylish qui anime la delicacies française, le bistrot de campagne (à Paris) de Frédéric Anton est assurément la plus belle ouverture de l’année. Inspiration terroir, exécution trois étoiles, tel est le programme de ce lieu où, entre tomettes anciennes, poutres massives, tableaux d’époque et imposants vaisseliers, l’on se régale du meilleur steak au poivre qui soit, mais aussi de bœuf bourguignon, de terrine de campagne, de ris de veau aux champignons avant de céder aux profiteroles, crèmes brûlées et autres babas au rhum.
Le Pré Catelan, bois de Boulogne, 75016 Paris. Carte : 60-85 €
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